"Zig-zag" un châle de printemps en lin

Publié le par Aynethé

Aujourd'hui ce sera d'un châle tricoté il y a quelques temps et que je pourrais appeler "Zig-zag" dont je vais vous parler.

Le fil chiné est de Phildar. A base de lin, ce qui lui donne une belle tenue, c'est plutôt un châle à réserver pour les soirées d'été un peu fraîches car il n'est pas vraiment chaud. 

Les jours sont de ma propre inspiration.... en zig-zag alternés, ce qui donne un effet de losange. Rien d'exceptionnel donc .

Quelques rangs supplémentaires auraient été les bienvenus mais le fil acheté en solde n'existait plus lorsque j'en ai eu besoin!

Aucune des photos ne traduit correctement la couleur. Le fil est chiné et selon la lumière, il parait plus bleu ou plus mauve ou même plus  violet. Il est en fait un peu de tout cela.

Quelques pistes pour le réaliser à votre tour :

La construction est classique, toute simple. On part de 5 mailles et on augmente de 4 mailles à chaque rang. Sur le côté endroit (donc tous les deux rangs) on augmente 1 maille de chaque côté de la maille centrale et 1 maille à 2m de chaque extrémité .

  • Les augmentations centrales peuvent se faire avec des jetés qui feront des jours au tour suivant ce qui est adapté au modèle.
  • Les augmentations du bord  peuvent également se faire avec des jetés  ou en prenant le fil entre deux mailles, soit normalement, soit en prenant le brin arrière ce qui évitera les trous. Tout est possible. c'est juste une question de goût.
  • J'ai terminé par un rang de mailles serrées au crochet pour éviter que ça "roulotte" et c'est finalement très efficace. Donc : à refaire

 

Un petit pompon  à la pointe et voilà un châle qui m'accompagne  très souvent pour les voyages et les sorties d'été quand le vent fraîchit ce qui est fréquent sur les côtes de l'Atlantique.

Merci de votre visite sur ces pages. Portez vous bien et faites de beaux tricots.

"Zig-zag" un châle de printemps en lin"Zig-zag" un châle de printemps en lin

Les soirėes peuvent être extraordinaires, les nuits inoubliables, et pourtant elles aboutissent toujours à des matins comme les autres.

David Foenkinos

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